Une semaine après la démission du chef du gouvernement António Costa, l’enquête se concentre désormais sur des soupçons de «trafic d’influence», et non plus de «corruption». Le ministère public a reconnu des erreurs. Des législatives anticipées sont convoquées le 10 mars. ⌘ Read more
Une semaine après la démission du chef du gouvernement António Costa, l’enquête se concentre désormais sur des soupçons de «trafic d’influence», et non plus de «corruption». Le ministère public a reconnu des erreurs. Des législatives anticipées sont convoquées le 10 mars. ⌘ Read more